Le Real Madrid ramène à l'arrachée trois points de son déplacement en Russie. Pourtant, à l'heure d'affronter les vainqueurs de la Coupe de l'UEFA et de la Supercoupe d'Europe, les Madrilènes ne partaient pas franchement favoris. C'est un but contre son camp d'un défenseur russe qui débloqua le marquoir après à peine trois minutes de jeu. Le Zenit Saint-Pétersbourg prit alors le match à son compte et égalisa une vingtaine de minutes plus tard. Contre le cours du jeu, l'inévitable Ruud Van Nistelrooy sut profiter au mieux d'une demi-occasion qu'il convertit fort logiquement en but. Les Russes se lancèrent alors à l'assaut du but d'Iker Casillas mais les Madrilènes ne cédèrent pas. Avec 6 points sur autant possible, le Real Madrid réalise un carton plein en Champion's League et se rapproche un peu plus des huitièmes de finale.
mardi 30 septembre 2008
Le Real Madrid ramène 3 points de Saint-Petersbourg
Le Real Madrid ramène à l'arrachée trois points de son déplacement en Russie. Pourtant, à l'heure d'affronter les vainqueurs de la Coupe de l'UEFA et de la Supercoupe d'Europe, les Madrilènes ne partaient pas franchement favoris. C'est un but contre son camp d'un défenseur russe qui débloqua le marquoir après à peine trois minutes de jeu. Le Zenit Saint-Pétersbourg prit alors le match à son compte et égalisa une vingtaine de minutes plus tard. Contre le cours du jeu, l'inévitable Ruud Van Nistelrooy sut profiter au mieux d'une demi-occasion qu'il convertit fort logiquement en but. Les Russes se lancèrent alors à l'assaut du but d'Iker Casillas mais les Madrilènes ne cédèrent pas. Avec 6 points sur autant possible, le Real Madrid réalise un carton plein en Champion's League et se rapproche un peu plus des huitièmes de finale.
Le Real Madrid bat in extremis le Betis grâce à Van Gol
jeudi 25 septembre 2008
Le chiffre 7 à l'honneur au Bernabéu
Fiche technique:
lundi 22 septembre 2008
Le Real Madrid, très efficace, s'impose à Santander
Leçon de réalisme du Real Madrid
Le Real Madrid ramène les trois points de son déplacement à Santander et se replace dans la course au titre. Les joueurs de Bernd Schuster se sont montrés particulièrement efficaces et réalistes en contre-attaque. C'est d'ailleurs de cette manière que sont venus les deux buts madrilènes. Ruben De la Red a ouvert la marque en concluant une superbe remontée de terrain de Gonzalo Higuaín. Une vingtaine de minutes plus tard, Ruud Van Nistelrooy, à nouveau sur contre-attaque, a surpris toute la défense de Santander et a définitivement tué le match. Grâce à cette deuxième victoire, le Real Madrid accroche le wagon de tête de la Liga.
Fiche technique:
2 - Real Madrid: Casillas; Sergio Ramos, Pepe, Cannavaro, Heinze; Guti (Van der Vaart, min 45), Diarra, De la Red; Higuaín (Saviola, min 85), Van Nisleterooy, De la Red et Raúl (Robben, min 69).
El Sardinero, Santander, Espagne.
samedi 20 septembre 2008
Le Real Madrid s'impose en Europe
Le Real Madrid s'impose en Europe
Le Real Madrid a sur le papier rempli sa première mission européenne en s'imposant 2-0 contre BATE Borisov. Les Madrilènes se sont contentés de contrôler le match et d'appuyer par moment sur l'accélérateur. Ce sont Sergio Ramos et l'inévitable Ruud Van Nistelrooy qui ont inscrit les deux seuls buts de la rencontre. La facile victoire madrilène masque un mauvais état de forme des joueurs de Bernd Schuster. En effet, l'adversaire du soir était d'un très faible niveau et il faudra voir le rendement des Madrilènes face à une des grosses cylindrées européennes. Les supporters venus en masse au stade Bernabéu sont restés sur le faim et l'ont fait savoir. Le Real Madrid prend la tête du groupe H à égalité avec le Juventus qui a battu le Zenit.
2 - Real Madrid: Iker Casillas; Sergio Ramos, Cannavaro, Heinze, Marcelo; Gago (Diarra, m.35), Guti (Higuaín, m.68), Van der Vaart; Robben (Drenthe, m.61), Raúl et Van Nistelrooy.
0 - BATE Borisov: Veremko; Khagush, Rzhevski, Sosnovski, Yurevich; Sivakov, Likhtarovich (Volodko, m.58), Nekhaychik, Kryvets, Stasevich; et Mirchev (Kazantsev, m.63).
Cartons jaunes: Kryvets.
dimanche 14 septembre 2008
Difficile victoire contre Numancia
La première victoire madrilène en Liga a été décrochée dans la douleur. A deux reprises, le Real Madrid a dû remonter le score avant de finalement s'imposer. Très tôt, Moreno mit Numancia aux commandes du match. Guti égalisa par après en inscrivant le 5000ème but du Real Madrid en Liga. Les visiteurs prirent à nouveau l'ascendant au marquoir grâce à Bakero. Les réalisations de Gonzalo Higuaín et Rafael Van der Vaart donnèrent l'avantage au Real Madrid. Peu avant la mi-temps, un but contre son camp d'un défenseur de Numancia fixa le score à 4-2. Numancia ne baissa pas les bras pour autant, se jeta à l'assaut d'Iker Casillas et trouva récompense à leur courage par le but de Moreno. Le Real Madrid résista tant bien que mal en attendant les trois coups de sifflet de l'arbitre. Les joueurs de Bernd Schuster remportent certes la victoire mais ont encore beaucoup de choses à prouver dans cette Liga.
4 - Real Madrid: Casillas; Salgado, Pepe, Metzelder, Marcelo; Van der Vaart (De la Red, m.68), Diarra, Guti, Robben; Higuaín (Drenthe, m.82) et Van Nistelrooy (Raúl, m.68). 3 - Numancia: Juan Pablo, Juanra, Palacios, Boris, Cisma; Nagore, Moreno; Mario (Del Pino, m.59), Barkero (Alvaro Antón, m.65), Bellvís (Quero, m.80); et Gorka Brit.
la source par: realmadrid-fr.com
mercredi 3 septembre 2008
Les Bleus à Clairefontaine
Un nouveau Nasri
28 mars 2007. Une date pas comme les autres pour Samir Nasri. Ce jour-là, à seulement 19 ans, le gamin de la Gavrotte Peyret fêtait sa première sélection avec l'équipe de France face à l'Autriche en amical. Avec à la clé une passe décisive pour un autre nouveau, Karim Benzema, et de belles promesses pour l'avenir. Pour beaucoup, le public français venait de découvrir le nouveau Zinédine Zidane. 17 mois plus tard, l'heure est aux retrouvailles. Avec une petite pincée de nostalgie. Très légère. «L'Autriche, c'est forcément un bon souvenir, reconnaissait l'international français mardi à Clairefontaine. Mais là, c'est dans un contexte différent, un match de qualifications pour la Coupe du Monde 2010, en Autriche…».
«Un esprit revanchard»
Tout a changé en fait depuis cette entrée en matière réussie et convaincante. Ce vent de fraîcheur insufflé par Raymond Domenech n'a pas déferlé sur la France comme on pouvait l'imaginer. Par peur de griller ces jeunes pousses aux dents longues ? Si Nasri totalise aujourd'hui 14 sélections, il n'a pas encore réussi à s'imposer comme un titulaire en puissance. Pour preuve, cet Euro 2008 sans saveur, où il n'aura arpenté les pelouses suisses que quelques minutes. La jeune génération devait débuter sa prise de pouvoir durant cette compétition. Elle a dû se satisfaire de quelques miettes. «On m'a dit que l'Euro était une mauvaise étape pour moi. J'ai toujours répondu non, ça peut nous servir pour le futur, estime l'ancien Marseillais. Parce que lorsqu'on est jeune et que l'on connaît ce genre d'échec, on essaie de ne pas répéter les mêmes erreurs. C'est pour cette raison que l'on a un esprit revanchard». Ce fiasco des Bleus en Suisse serait-il un mal pour un bien ? Raymond Domenech ne cesse de le marteler depuis quelques semaines. Ces jeunes loups sont désormais blindés. Cette expérience malheureuse les a endurcis. Maintenant, l'avenir leur appartient.
A Arsenal pour franchir un palier
«A nous de nous révéler, souligne Nasri. Après l'Euro, certains joueurs sont partis à la retraite, certains sont blessés comme Franck (Ribéry), Willy (Sagnol) ou Patrick (Vieira) qui sont des cadres dans cette équipe. Il y a une nouvelle génération qui est là. Après, les jeunes ne vont pas devenir des leaders tout de suite, certains ont l'expérience pour tenir ce rôle-là. Il s'agit d'apporter quelque chose à cette équipe». Pour ne pas rater la prochaine Coupe du Monde en Afrique du Sud. «C'est un pays qui nous parle. Il faut y être car c'est peut-être la seule occasion de disputer une Coupe du Monde en Afrique. Il faut vraiment tout faire pour participer à cette aventure». Et pour mettre toutes les chances de son côté, le gamin de Marseille n'a pas hésité à quitter le cocon familial et à s'exiler à l'étranger, plus précisément à Arsenal. Pour découvrir une nouvelle culture, un nouveau football et franchir un palier. «Arsenal, c'est le gratin du football européen, on se rapproche beaucoup du niveau international et de l'équipe de France, explique le néo-Gunner. Il n'y a quasiment que des internationaux. La dernière fois, quand je suis revenu du rassemblement pour le match face à la Suède en raison de ma blessure, on était deux à l'entraînement (sourire). Oui, c'est ce qui va me permettre de me rapprocher du niveau international et à avoir un rôle à jouer dans cette équipe».
Le nouveau Pirès ?
Un sacré défi pour le talentueux mais frêle milieu de terrain français. La Premier League est plutôt réputée pour être l'un des championnats les plus physiques, les plus impressionnants en terme d'intensité. Nasri n'a pas tardé à mettre les pieds dans le plat. Dès le week-end dernier, Joey Barton, le bad boy de l'Angleterre, s'est chargé de lui souhaiter la bienvenue, à sa façon. «C'est du passé, c'est le championnat anglais, il faut s'y faire. J'ai été préparé à ça, beaucoup m'ont dit que j'allais me casser la gueule car le jeu est assez physique. Mais j'ai un préparateur physique à Arsenal, avec un programme spécialisé pour tenir le choc». Le moins que l'on puisse dire est qu'il le tient plutôt bien. Son intégration, facilitée par une ambiance bon enfant - «dans le vestiaire, c'est un peu le même délire que j'ai car c'est un effectif très jeune donc je n'ai pas été dépaysé. En plus, il y a beaucoup de Français et francophones donc j'ai atterri en terrain connu. Tout le monde m'a mis à l'aise de suite» - s'est réalisé à vitesse grand V.
Dès son premier match de championnat, l'ancien Marseillais a ouvert son compteur but pour offrir la victoire aux siens à l'Emirates Stadium. Même son nouveau poste (Nasri évolue sur le côté gauche) ne semble pas le gêner outre mesure. «Le coach m'a dit de jouer sur le côté mais je suis libre de mes mouvements, de faire ce que je sais faire. Il me demande juste de prendre le ballon et d'essayer de provoquer. Et comme à Arsenal, on a toujours une solution…». Résultat, si en France, l'étiquette de nouveau Zidane lui collait à la peau, les Anglais se sont chargés de lui trouver de nouvelles traces sur lesquelles marcher : «J'ai entendu dire par-ci par-là qu'ils espéraient trouver en moi le successeur de Robert Pirès. C'est quelque chose de difficile à porter au vu de sa carrière au club. C'est un joueur de qualité. C'est flatteur mais là je viens à peine d'arriver. J'aimerais bien faire la carrière qu'il a fait à Arsenal». En espérant ne pas connaître le même sort en équipe de France avec Domenech…
par Vincent Duchesne, le 03-09-2008/sport24.com