mardi 30 septembre 2008

Le Real Madrid ramène 3 points de Saint-Petersbourg


Victoire ramenée au courage de Russie
Le Real Madrid ramène à l'arrachée trois points de son déplacement en Russie. Pourtant, à l'heure d'affronter les vainqueurs de la Coupe de l'UEFA et de la Supercoupe d'Europe, les Madrilènes ne partaient pas franchement favoris. C'est un but contre son camp d'un défenseur russe qui débloqua le marquoir après à peine trois minutes de jeu. Le Zenit Saint-Pétersbourg prit alors le match à son compte et égalisa une vingtaine de minutes plus tard. Contre le cours du jeu, l'inévitable Ruud Van Nistelrooy sut profiter au mieux d'une demi-occasion qu'il convertit fort logiquement en but. Les Russes se lancèrent alors à l'assaut du but d'Iker Casillas mais les Madrilènes ne cédèrent pas. Avec 6 points sur autant possible, le Real Madrid réalise un carton plein en Champion's League et se rapproche un peu plus des huitièmes de finale.

Fiche technique:

1 - Zenit Saint-Pétersbourg: Malaféev; Sirl, Hubocan (Domínguez, m.72), Puygrenier, Anyukov; Denísov, Tymoschuk, Zyriánov; Arshavin, Danny et Pogrebnyak (Tekke, m.72).


2 - Real Madrid: Iker Casillas; Sergio Ramos, Pepe, Cannavaro, Heinze; Robben (Drenthe, m.82), Diarra, De la Red, Van der Vaart (Javi García, m.62); Higuaín (Saviola, m.87) et Van Nistelrooy.


Buts:


0-1, min 3: Huboca, contre son camp.

1-1, min 25: Eskandarian.

1-2, min 30: Van Nistelrooy.

Cartons jaunes: Arshavin, Tymoschuk et Hubocan.

Cartons rouges: aucun.

Stade:

Petrovsky, Saint-Pétersbourg, Russie.
la source par: realmadrid-fr.com

Le Real Madrid bat in extremis le Betis grâce à Van Gol


Van Nistelrooy délivre le Real Madrid

Ruud Van Nistelrooy a offert la victoire au Real Madrid grâce à un but inscrit dans les arrêts de jeu. Les joueurs de Bernd Schuster ont dominé la première mi-temps et c'est Gabriel Heinze qui, de la tête, a confirmé cette main-mise sur le jeu. Le Betis Séville a repris le dessus après la pause et égalisé suite à un penalty commis par Marcelo qui sera justement expulsé suite cette faute. Réduits à 10, les Madrilènes ont tenté de reprendre l'avantage et dans les derniers instants de jeu, Ruud Van Nistelrooy a délivré le Real Madrid en marquant son soixantième but sous le maillot blanc. C'est la cinquième victoire consécutive du Real Madrid qui reste à l'affût d'un faux pas de Villarreal et de Valence.

Fiche technique:

1 - Betis Séville: Casto; Nelson, Juanito, Arzu, Monzón (Babic. m.76), Aurelio, Emaná (Ilic, m.84); Damiá (Pavone. m.65), Capi, Sergio Garcia, et José Mari.

2 - Real Madrid: Casillas; Sergio Ramos, Pepe, Heinze, Marcelo; Diarra, De la Red (Javi García, m.68); Raúl (Torres, m.59), Van Der Vaart (Drenthe, m.80), Robben, et Van Nistelrooy.

Buts:

0-1, min 18: Gabriel Heinze.
1-1, min 53: Sergio Garcia, sur pénalty

1-2, min 92: Ruud Van Nistelrooy.
Cartons jaunes:

Van der Vaart (m.38.), Marcelo (m.40.), Casillas (m.75), Pavone (m.78) et Juanito (m.87).

Cartons rouges:

Marcelo (m.53) et Sergio García, deux cartons jaunes (m.44 et m.82).

Stade:
Manuel Ruiz de Lopera, Séville, Espagne.

jeudi 25 septembre 2008

Le chiffre 7 à l'honneur au Bernabéu


Le Real Madrid se régale et étrille 7-1 le Sporting Gijon (25/09/2008)


Le Real Madrid a profité de la faiblesse du Sporting Gijon pour régaler ses supporters. Le 7 est de retour au Bernabéu. Le chiffre 7 a pu se lire sur le maillot du capitaine Raúl, qui a réalisé un doublé et deux passes décisives, mais également sur le marquoir du stade Santiago Bernabéu. L'autre grand protagoniste de la rencontre fut Rafael Van der Vaart, auteur d'un hat-trick et d'une superbe rencontre. Arjen Robben et Gonzalo Higuaín, dont la montée en puissance continue, ont complété le carton du Real Madrid. Ruben De la Red, à nouveau aux commandes de l'entrejeu, confirme son excellent début de saison. Les Madrilènes sont toujours à un point du leader et comptent bien le détrôner dans les prochaines semaines.
Fiche technique:

7 - Real Madrid: Casillas, Miguel Torres, Pepe, Cannavaro, Marcelo; Van der Vaart, Diarra (Javi García, m.53), De la Red, Robben (Drenthe, m.; Higuaín (Saviola, m.61) et Raúl.

1 - Sporting Gijon: Sergio Sánchez, Raúl Cámara (Neru, m.46), Colin, Iván Hernández, Canella; Pedro (Luis Morán, Míchel, Diego Camacho, Maldonado (Diego Castro, m.46); Kike Mateo et Barral.

Buts

:1-0, min 18: Van der Vaart.

2-0, min 33: Van der Vaart.

3-0, min 36: Higuaín.

4-0, min 47: Van der Vaart.

5-0, min 51: Robben.

5-1, min 53: Kike Mateo.

6-1, min 58: Raúl.

7-1, min 64: Raúl.

Cartons jaunes: aucun.

Cartons rouges: aucun.

Stade:

Santiago Bernabéu, Madrid, Espagne.

lundi 22 septembre 2008

Le Real Madrid, très efficace, s'impose à Santander

Le Real Madrid, très efficace, s'impose à Santander 0-2 (21/09/2008)
Leçon de réalisme du Real Madrid

Le Real Madrid ramène les trois points de son déplacement à Santander et se replace dans la course au titre. Les joueurs de Bernd Schuster se sont montrés particulièrement efficaces et réalistes en contre-attaque. C'est d'ailleurs de cette manière que sont venus les deux buts madrilènes. Ruben De la Red a ouvert la marque en concluant une superbe remontée de terrain de Gonzalo Higuaín. Une vingtaine de minutes plus tard, Ruud Van Nistelrooy, à nouveau sur contre-attaque, a surpris toute la défense de Santander et a définitivement tué le match. Grâce à cette deuxième victoire, le Real Madrid accroche le wagon de tête de la Liga.
Fiche technique:

0 - Racing Santander: Toño; Pinillos, César Navas, Marcano, Christian; Valera (Tchité, min 67), Lacen (Luccin, min 57), Colsa, Serrano (Gonçalves, min 78); Juanjo et Pereira.

2 - Real Madrid: Casillas; Sergio Ramos, Pepe, Cannavaro, Heinze; Guti (Van der Vaart, min 45), Diarra, De la Red; Higuaín (Saviola, min 85), Van Nisleterooy, De la Red et Raúl (Robben, min 69).
Buts:

0-1, min 53: Ruben De la Red.

0-2, min 73: Ruud Van Nistelrooy.


Cartons jaunes: Heinze, Cannavaro, Van der Vaart et Higuaín.




Cartons rouges: aucun.

Stade:

El Sardinero, Santander, Espagne.

samedi 20 septembre 2008

Le Real Madrid s'impose en Europe

Victoire du Real Madrid contre BATE Borisov (18/09/2008)
Le Real Madrid s'impose en Europe

Le Real Madrid a sur le papier rempli sa première mission européenne en s'imposant 2-0 contre BATE Borisov. Les Madrilènes se sont contentés de contrôler le match et d'appuyer par moment sur l'accélérateur. Ce sont Sergio Ramos et l'inévitable Ruud Van Nistelrooy qui ont inscrit les deux seuls buts de la rencontre. La facile victoire madrilène masque un mauvais état de forme des joueurs de Bernd Schuster. En effet, l'adversaire du soir était d'un très faible niveau et il faudra voir le rendement des Madrilènes face à une des grosses cylindrées européennes. Les supporters venus en masse au stade Bernabéu sont restés sur le faim et l'ont fait savoir. Le Real Madrid prend la tête du groupe H à égalité avec le Juventus qui a battu le Zenit.

Fiche technique:
2 - Real Madrid: Iker Casillas; Sergio Ramos, Cannavaro, Heinze, Marcelo; Gago (Diarra, m.35), Guti (Higuaín, m.68), Van der Vaart; Robben (Drenthe, m.61), Raúl et Van Nistelrooy.


0 - BATE Borisov: Veremko; Khagush, Rzhevski, Sosnovski, Yurevich; Sivakov, Likhtarovich (Volodko, m.58), Nekhaychik, Kryvets, Stasevich; et Mirchev (Kazantsev, m.63).


Buts:

1-0, min 10: Sergio Ramos.

2-0, min 57: Van Nistelrooy.
Cartons jaunes: Kryvets.

Cartons rouges: Khagush.

Stade:

Santiago Bernabéu, Madrid, Espagne.
la source par: realmadrid-fr.com

dimanche 14 septembre 2008

Difficile victoire contre Numancia

Le Real Madrid remonte et s'impose 4-3 face à Numancia (14/09/2008)


Difficile victoire contre Numancia
La première victoire madrilène en Liga a été décrochée dans la douleur. A deux reprises, le Real Madrid a dû remonter le score avant de finalement s'imposer. Très tôt, Moreno mit Numancia aux commandes du match. Guti égalisa par après en inscrivant le 5000ème but du Real Madrid en Liga. Les visiteurs prirent à nouveau l'ascendant au marquoir grâce à Bakero. Les réalisations de Gonzalo Higuaín et Rafael Van der Vaart donnèrent l'avantage au Real Madrid. Peu avant la mi-temps, un but contre son camp d'un défenseur de Numancia fixa le score à 4-2. Numancia ne baissa pas les bras pour autant, se jeta à l'assaut d'Iker Casillas et trouva récompense à leur courage par le but de Moreno. Le Real Madrid résista tant bien que mal en attendant les trois coups de sifflet de l'arbitre. Les joueurs de Bernd Schuster remportent certes la victoire mais ont encore beaucoup de choses à prouver dans cette Liga.


Fiche technique:


4 - Real Madrid: Casillas; Salgado, Pepe, Metzelder, Marcelo; Van der Vaart (De la Red, m.68), Diarra, Guti, Robben; Higuaín (Drenthe, m.82) et Van Nistelrooy (Raúl, m.68). 3 - Numancia: Juan Pablo, Juanra, Palacios, Boris, Cisma; Nagore, Moreno; Mario (Del Pino, m.59), Barkero (Alvaro Antón, m.65), Bellvís (Quero, m.80); et Gorka Brit.
Buts:
0-1, min 6: Moreno.
1-1, min 18: Guti.
1-2, min 21: Bakero.
2-2, min 25: Higuaín.
3-2, min 33: Van der Vaart.
4-2, min 39: Cisma, contre son camp.
4-3, min 56: Moreno
Cartons jaunes: Palacios.
Cartons rouges: aucun.
Stade: Santiago Bernabéu, Madrid, Espagne.

la source par: realmadrid-fr.com

mercredi 3 septembre 2008

Les Bleus à Clairefontaine

Avec Gourcuff et Lloris, la jeune génération prend le pouvoir chez les Bleus
Absent en Suède pour cause de blessure, Samir Nasri retrouve les Bleus

Eric Abidal, suspendu en Autriche, s'entretient avec Raymond Domenech


Alain Boghossian prend ses marques avec la nouvelle génération



Nicolas Anelka plaisante avec le nouveau venu, Rod Fanni

Efficace en L1, le buteur lyonnais doit faire de même chez les Bleus

Buteur face aux Verts dimanche, Karim Benzema s'étire

Certains, comme Anelka, ont joué dimanche avec leur club

Les Bleus préparent le voyage en Autriche et la réception de la Serbie

Un nouveau Nasri


Absent contre la Suède en raison d'une blessure, Samir Nasri est de retour en équipe de France. Le minot, désormais à Arsenal, entend bien jouer un rôle plus important chez les Bleus.

28 mars 2007. Une date pas comme les autres pour Samir Nasri. Ce jour-là, à seulement 19 ans, le gamin de la Gavrotte Peyret fêtait sa première sélection avec l'équipe de France face à l'Autriche en amical. Avec à la clé une passe décisive pour un autre nouveau, Karim Benzema, et de belles promesses pour l'avenir. Pour beaucoup, le public français venait de découvrir le nouveau Zinédine Zidane. 17 mois plus tard, l'heure est aux retrouvailles. Avec une petite pincée de nostalgie. Très légère. «L'Autriche, c'est forcément un bon souvenir, reconnaissait l'international français mardi à Clairefontaine. Mais là, c'est dans un contexte différent, un match de qualifications pour la Coupe du Monde 2010, en Autriche…».


«Un esprit revanchard»

Tout a changé en fait depuis cette entrée en matière réussie et convaincante. Ce vent de fraîcheur insufflé par Raymond Domenech n'a pas déferlé sur la France comme on pouvait l'imaginer. Par peur de griller ces jeunes pousses aux dents longues ? Si Nasri totalise aujourd'hui 14 sélections, il n'a pas encore réussi à s'imposer comme un titulaire en puissance. Pour preuve, cet Euro 2008 sans saveur, où il n'aura arpenté les pelouses suisses que quelques minutes. La jeune génération devait débuter sa prise de pouvoir durant cette compétition. Elle a dû se satisfaire de quelques miettes. «On m'a dit que l'Euro était une mauvaise étape pour moi. J'ai toujours répondu non, ça peut nous servir pour le futur, estime l'ancien Marseillais. Parce que lorsqu'on est jeune et que l'on connaît ce genre d'échec, on essaie de ne pas répéter les mêmes erreurs. C'est pour cette raison que l'on a un esprit revanchard». Ce fiasco des Bleus en Suisse serait-il un mal pour un bien ? Raymond Domenech ne cesse de le marteler depuis quelques semaines. Ces jeunes loups sont désormais blindés. Cette expérience malheureuse les a endurcis. Maintenant, l'avenir leur appartient.
A Arsenal pour franchir un palier

«A nous de nous révéler, souligne Nasri. Après l'Euro, certains joueurs sont partis à la retraite, certains sont blessés comme Franck (Ribéry), Willy (Sagnol) ou Patrick (Vieira) qui sont des cadres dans cette équipe. Il y a une nouvelle génération qui est là. Après, les jeunes ne vont pas devenir des leaders tout de suite, certains ont l'expérience pour tenir ce rôle-là. Il s'agit d'apporter quelque chose à cette équipe». Pour ne pas rater la prochaine Coupe du Monde en Afrique du Sud. «C'est un pays qui nous parle. Il faut y être car c'est peut-être la seule occasion de disputer une Coupe du Monde en Afrique. Il faut vraiment tout faire pour participer à cette aventure». Et pour mettre toutes les chances de son côté, le gamin de Marseille n'a pas hésité à quitter le cocon familial et à s'exiler à l'étranger, plus précisément à Arsenal. Pour découvrir une nouvelle culture, un nouveau football et franchir un palier. «Arsenal, c'est le gratin du football européen, on se rapproche beaucoup du niveau international et de l'équipe de France, explique le néo-Gunner. Il n'y a quasiment que des internationaux. La dernière fois, quand je suis revenu du rassemblement pour le match face à la Suède en raison de ma blessure, on était deux à l'entraînement (sourire). Oui, c'est ce qui va me permettre de me rapprocher du niveau international et à avoir un rôle à jouer dans cette équipe».
Le nouveau Pirès ?

Un sacré défi pour le talentueux mais frêle milieu de terrain français. La Premier League est plutôt réputée pour être l'un des championnats les plus physiques, les plus impressionnants en terme d'intensité. Nasri n'a pas tardé à mettre les pieds dans le plat. Dès le week-end dernier, Joey Barton, le bad boy de l'Angleterre, s'est chargé de lui souhaiter la bienvenue, à sa façon. «C'est du passé, c'est le championnat anglais, il faut s'y faire. J'ai été préparé à ça, beaucoup m'ont dit que j'allais me casser la gueule car le jeu est assez physique. Mais j'ai un préparateur physique à Arsenal, avec un programme spécialisé pour tenir le choc». Le moins que l'on puisse dire est qu'il le tient plutôt bien. Son intégration, facilitée par une ambiance bon enfant - «dans le vestiaire, c'est un peu le même délire que j'ai car c'est un effectif très jeune donc je n'ai pas été dépaysé. En plus, il y a beaucoup de Français et francophones donc j'ai atterri en terrain connu. Tout le monde m'a mis à l'aise de suite» - s'est réalisé à vitesse grand V.
Dès son premier match de championnat, l'ancien Marseillais a ouvert son compteur but pour offrir la victoire aux siens à l'Emirates Stadium. Même son nouveau poste (Nasri évolue sur le côté gauche) ne semble pas le gêner outre mesure. «Le coach m'a dit de jouer sur le côté mais je suis libre de mes mouvements, de faire ce que je sais faire. Il me demande juste de prendre le ballon et d'essayer de provoquer. Et comme à Arsenal, on a toujours une solution…». Résultat, si en France, l'étiquette de nouveau Zidane lui collait à la peau, les Anglais se sont chargés de lui trouver de nouvelles traces sur lesquelles marcher : «J'ai entendu dire par-ci par-là qu'ils espéraient trouver en moi le successeur de Robert Pirès. C'est quelque chose de difficile à porter au vu de sa carrière au club. C'est un joueur de qualité. C'est flatteur mais là je viens à peine d'arriver. J'aimerais bien faire la carrière qu'il a fait à Arsenal». En espérant ne pas connaître le même sort en équipe de France avec Domenech…

par Vincent Duchesne, le 03-09-2008/sport24.com

mardi 2 septembre 2008

Robinho est transféré à Manchester City

Robinho est transféré à Manchester City pour 42 millions (02/09/2008) Robinho à Manchester City pour 42M

Le Real Madrid et son président Ramón Calderón furent très vexés en apprenant que Chelsea avait mis en vente des maillots floqués Robinho alors qu'aucun accord n'avait été trouvé entre les deux clubs. Le 1er septembre était la date limite pour les transferts en Europe et à quelques heures de la fin, le Real Madrid offrit Robinho à Manchester City. En quelques minutes, le club anglais mis sur la table les 42 millions d'euros exigés par Ramón Calderón et l'accord fut officialisé. Comme Robinho le souhaitait, il quitte le Real Madrid mais pas pour la destination qu'il préférait en premier lieu. L'étape de Robinho dans la capitale espagnole se termine d'une triste manière puisque le joueur voulait à tout prix partir du Club avec lequel il aura tout de même été deux fois champion d'Espagne.

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