Le Real Madrid ramène à l'arrachée trois points de son déplacement en Russie. Pourtant, à l'heure d'affronter les vainqueurs de la Coupe de l'UEFA et de la Supercoupe d'Europe, les Madrilènes ne partaient pas franchement favoris. C'est un but contre son camp d'un défenseur russe qui débloqua le marquoir après à peine trois minutes de jeu. Le Zenit Saint-Pétersbourg prit alors le match à son compte et égalisa une vingtaine de minutes plus tard. Contre le cours du jeu, l'inévitable Ruud Van Nistelrooy sut profiter au mieux d'une demi-occasion qu'il convertit fort logiquement en but. Les Russes se lancèrent alors à l'assaut du but d'Iker Casillas mais les Madrilènes ne cédèrent pas. Avec 6 points sur autant possible, le Real Madrid réalise un carton plein en Champion's League et se rapproche un peu plus des huitièmes de finale.
mardi 30 septembre 2008
Le Real Madrid ramène 3 points de Saint-Petersbourg
Le Real Madrid ramène à l'arrachée trois points de son déplacement en Russie. Pourtant, à l'heure d'affronter les vainqueurs de la Coupe de l'UEFA et de la Supercoupe d'Europe, les Madrilènes ne partaient pas franchement favoris. C'est un but contre son camp d'un défenseur russe qui débloqua le marquoir après à peine trois minutes de jeu. Le Zenit Saint-Pétersbourg prit alors le match à son compte et égalisa une vingtaine de minutes plus tard. Contre le cours du jeu, l'inévitable Ruud Van Nistelrooy sut profiter au mieux d'une demi-occasion qu'il convertit fort logiquement en but. Les Russes se lancèrent alors à l'assaut du but d'Iker Casillas mais les Madrilènes ne cédèrent pas. Avec 6 points sur autant possible, le Real Madrid réalise un carton plein en Champion's League et se rapproche un peu plus des huitièmes de finale.
Le Real Madrid bat in extremis le Betis grâce à Van Gol
jeudi 25 septembre 2008
Le chiffre 7 à l'honneur au Bernabéu
Fiche technique:
lundi 22 septembre 2008
Le Real Madrid, très efficace, s'impose à Santander
Leçon de réalisme du Real Madrid
Le Real Madrid ramène les trois points de son déplacement à Santander et se replace dans la course au titre. Les joueurs de Bernd Schuster se sont montrés particulièrement efficaces et réalistes en contre-attaque. C'est d'ailleurs de cette manière que sont venus les deux buts madrilènes. Ruben De la Red a ouvert la marque en concluant une superbe remontée de terrain de Gonzalo Higuaín. Une vingtaine de minutes plus tard, Ruud Van Nistelrooy, à nouveau sur contre-attaque, a surpris toute la défense de Santander et a définitivement tué le match. Grâce à cette deuxième victoire, le Real Madrid accroche le wagon de tête de la Liga.
Fiche technique:
2 - Real Madrid: Casillas; Sergio Ramos, Pepe, Cannavaro, Heinze; Guti (Van der Vaart, min 45), Diarra, De la Red; Higuaín (Saviola, min 85), Van Nisleterooy, De la Red et Raúl (Robben, min 69).
El Sardinero, Santander, Espagne.
samedi 20 septembre 2008
Le Real Madrid s'impose en Europe
Le Real Madrid s'impose en Europe
Le Real Madrid a sur le papier rempli sa première mission européenne en s'imposant 2-0 contre BATE Borisov. Les Madrilènes se sont contentés de contrôler le match et d'appuyer par moment sur l'accélérateur. Ce sont Sergio Ramos et l'inévitable Ruud Van Nistelrooy qui ont inscrit les deux seuls buts de la rencontre. La facile victoire madrilène masque un mauvais état de forme des joueurs de Bernd Schuster. En effet, l'adversaire du soir était d'un très faible niveau et il faudra voir le rendement des Madrilènes face à une des grosses cylindrées européennes. Les supporters venus en masse au stade Bernabéu sont restés sur le faim et l'ont fait savoir. Le Real Madrid prend la tête du groupe H à égalité avec le Juventus qui a battu le Zenit.
2 - Real Madrid: Iker Casillas; Sergio Ramos, Cannavaro, Heinze, Marcelo; Gago (Diarra, m.35), Guti (Higuaín, m.68), Van der Vaart; Robben (Drenthe, m.61), Raúl et Van Nistelrooy.
0 - BATE Borisov: Veremko; Khagush, Rzhevski, Sosnovski, Yurevich; Sivakov, Likhtarovich (Volodko, m.58), Nekhaychik, Kryvets, Stasevich; et Mirchev (Kazantsev, m.63).
Cartons jaunes: Kryvets.
dimanche 14 septembre 2008
Difficile victoire contre Numancia
La première victoire madrilène en Liga a été décrochée dans la douleur. A deux reprises, le Real Madrid a dû remonter le score avant de finalement s'imposer. Très tôt, Moreno mit Numancia aux commandes du match. Guti égalisa par après en inscrivant le 5000ème but du Real Madrid en Liga. Les visiteurs prirent à nouveau l'ascendant au marquoir grâce à Bakero. Les réalisations de Gonzalo Higuaín et Rafael Van der Vaart donnèrent l'avantage au Real Madrid. Peu avant la mi-temps, un but contre son camp d'un défenseur de Numancia fixa le score à 4-2. Numancia ne baissa pas les bras pour autant, se jeta à l'assaut d'Iker Casillas et trouva récompense à leur courage par le but de Moreno. Le Real Madrid résista tant bien que mal en attendant les trois coups de sifflet de l'arbitre. Les joueurs de Bernd Schuster remportent certes la victoire mais ont encore beaucoup de choses à prouver dans cette Liga.
4 - Real Madrid: Casillas; Salgado, Pepe, Metzelder, Marcelo; Van der Vaart (De la Red, m.68), Diarra, Guti, Robben; Higuaín (Drenthe, m.82) et Van Nistelrooy (Raúl, m.68). 3 - Numancia: Juan Pablo, Juanra, Palacios, Boris, Cisma; Nagore, Moreno; Mario (Del Pino, m.59), Barkero (Alvaro Antón, m.65), Bellvís (Quero, m.80); et Gorka Brit.
la source par: realmadrid-fr.com
mercredi 3 septembre 2008
Les Bleus à Clairefontaine
Un nouveau Nasri
28 mars 2007. Une date pas comme les autres pour Samir Nasri. Ce jour-là, à seulement 19 ans, le gamin de la Gavrotte Peyret fêtait sa première sélection avec l'équipe de France face à l'Autriche en amical. Avec à la clé une passe décisive pour un autre nouveau, Karim Benzema, et de belles promesses pour l'avenir. Pour beaucoup, le public français venait de découvrir le nouveau Zinédine Zidane. 17 mois plus tard, l'heure est aux retrouvailles. Avec une petite pincée de nostalgie. Très légère. «L'Autriche, c'est forcément un bon souvenir, reconnaissait l'international français mardi à Clairefontaine. Mais là, c'est dans un contexte différent, un match de qualifications pour la Coupe du Monde 2010, en Autriche…».
«Un esprit revanchard»
Tout a changé en fait depuis cette entrée en matière réussie et convaincante. Ce vent de fraîcheur insufflé par Raymond Domenech n'a pas déferlé sur la France comme on pouvait l'imaginer. Par peur de griller ces jeunes pousses aux dents longues ? Si Nasri totalise aujourd'hui 14 sélections, il n'a pas encore réussi à s'imposer comme un titulaire en puissance. Pour preuve, cet Euro 2008 sans saveur, où il n'aura arpenté les pelouses suisses que quelques minutes. La jeune génération devait débuter sa prise de pouvoir durant cette compétition. Elle a dû se satisfaire de quelques miettes. «On m'a dit que l'Euro était une mauvaise étape pour moi. J'ai toujours répondu non, ça peut nous servir pour le futur, estime l'ancien Marseillais. Parce que lorsqu'on est jeune et que l'on connaît ce genre d'échec, on essaie de ne pas répéter les mêmes erreurs. C'est pour cette raison que l'on a un esprit revanchard». Ce fiasco des Bleus en Suisse serait-il un mal pour un bien ? Raymond Domenech ne cesse de le marteler depuis quelques semaines. Ces jeunes loups sont désormais blindés. Cette expérience malheureuse les a endurcis. Maintenant, l'avenir leur appartient.
A Arsenal pour franchir un palier
«A nous de nous révéler, souligne Nasri. Après l'Euro, certains joueurs sont partis à la retraite, certains sont blessés comme Franck (Ribéry), Willy (Sagnol) ou Patrick (Vieira) qui sont des cadres dans cette équipe. Il y a une nouvelle génération qui est là. Après, les jeunes ne vont pas devenir des leaders tout de suite, certains ont l'expérience pour tenir ce rôle-là. Il s'agit d'apporter quelque chose à cette équipe». Pour ne pas rater la prochaine Coupe du Monde en Afrique du Sud. «C'est un pays qui nous parle. Il faut y être car c'est peut-être la seule occasion de disputer une Coupe du Monde en Afrique. Il faut vraiment tout faire pour participer à cette aventure». Et pour mettre toutes les chances de son côté, le gamin de Marseille n'a pas hésité à quitter le cocon familial et à s'exiler à l'étranger, plus précisément à Arsenal. Pour découvrir une nouvelle culture, un nouveau football et franchir un palier. «Arsenal, c'est le gratin du football européen, on se rapproche beaucoup du niveau international et de l'équipe de France, explique le néo-Gunner. Il n'y a quasiment que des internationaux. La dernière fois, quand je suis revenu du rassemblement pour le match face à la Suède en raison de ma blessure, on était deux à l'entraînement (sourire). Oui, c'est ce qui va me permettre de me rapprocher du niveau international et à avoir un rôle à jouer dans cette équipe».
Le nouveau Pirès ?
Un sacré défi pour le talentueux mais frêle milieu de terrain français. La Premier League est plutôt réputée pour être l'un des championnats les plus physiques, les plus impressionnants en terme d'intensité. Nasri n'a pas tardé à mettre les pieds dans le plat. Dès le week-end dernier, Joey Barton, le bad boy de l'Angleterre, s'est chargé de lui souhaiter la bienvenue, à sa façon. «C'est du passé, c'est le championnat anglais, il faut s'y faire. J'ai été préparé à ça, beaucoup m'ont dit que j'allais me casser la gueule car le jeu est assez physique. Mais j'ai un préparateur physique à Arsenal, avec un programme spécialisé pour tenir le choc». Le moins que l'on puisse dire est qu'il le tient plutôt bien. Son intégration, facilitée par une ambiance bon enfant - «dans le vestiaire, c'est un peu le même délire que j'ai car c'est un effectif très jeune donc je n'ai pas été dépaysé. En plus, il y a beaucoup de Français et francophones donc j'ai atterri en terrain connu. Tout le monde m'a mis à l'aise de suite» - s'est réalisé à vitesse grand V.
Dès son premier match de championnat, l'ancien Marseillais a ouvert son compteur but pour offrir la victoire aux siens à l'Emirates Stadium. Même son nouveau poste (Nasri évolue sur le côté gauche) ne semble pas le gêner outre mesure. «Le coach m'a dit de jouer sur le côté mais je suis libre de mes mouvements, de faire ce que je sais faire. Il me demande juste de prendre le ballon et d'essayer de provoquer. Et comme à Arsenal, on a toujours une solution…». Résultat, si en France, l'étiquette de nouveau Zidane lui collait à la peau, les Anglais se sont chargés de lui trouver de nouvelles traces sur lesquelles marcher : «J'ai entendu dire par-ci par-là qu'ils espéraient trouver en moi le successeur de Robert Pirès. C'est quelque chose de difficile à porter au vu de sa carrière au club. C'est un joueur de qualité. C'est flatteur mais là je viens à peine d'arriver. J'aimerais bien faire la carrière qu'il a fait à Arsenal». En espérant ne pas connaître le même sort en équipe de France avec Domenech…
par Vincent Duchesne, le 03-09-2008/sport24.com
mardi 2 septembre 2008
Robinho est transféré à Manchester City
dimanche 31 août 2008
Le Deportivo La Corogne s'impose contre le Real Madrid
18 ans que le Real Madrid ne s'impose plus sur le terrain du Deportivo La Corogne, 18 ans que la malédiction de Riazor continue. Et il est vrai que les Madrilènes ne méritaient pas meilleur sort. Hormis Arjen Robben, l'entrejeu madrilène fut incapable d'amener le danger devant le but des Galiciens. Rapidement, La Corogne prit logiquement l'avantage au marquoir. Le Real Madrid réagit tant bien que mal et trouva finalement la faille: Ruud Van Nistelrooy, servi par Raúl, égalisa. Mais le Deportivo reprit immédiatement ses esprits et inscrit un deuxième but, à nouveau sur un ballon aérien. Les Madrilènes tentèrent de réagir mais aucun de leurs essais n'eut l'effet escompter. Le Real Madrid débute la Liga 2008-2009 par une défaite à Riazor, comme cela était malheureusement prévisible.
Deportivo La Corogne
Aranzubia; Laure, Lopo, Zé Castro, Filipe Luis; Sergio, De Guzmán; Pablo Alvarez (Juan Rodríguez; m.79), Verdú, Guardado; et Mista (Riki; m.62. Omar Bravo; m.73).
Real Madrid
lundi 25 août 2008
Robinho en partance pour Chelsea
Robinho veut quitter le Real Madrid. C'est en tout cas ce qu'il a clairement affirmé lors d'une interview accordée à l'agence de presse espagnole EFE. Le joueur brésilien n'a pas pu résister aux 5 millions d'euros net proposés par Chelsea et veut tenter une nouvelle expérience sur l'île britannique. Le club londonien a offert 37 millions d'euros au Real Madrid mais Ramón Calderón en exige au moins 45. Le président a déclaré qu'il ne retiendrait jamais quelqu'un contre sa volonté mais, bien évidemment, il veut que la compensation financière soit à la hauteur.
Robinho n'a plus la tête à Madrid. Totalement absent lors du match aller de la Supercoupe d'Espagne, le joueur brésilien se voit déjà à Chelsea. Bien que Robinho ait montré sa volonté de rejoindre la capitale anglaise, il a tenu à remercier le Real Madrid pour son attitude. Cependant, aucun accord n'a encore été trouvé entre les 2 clubs et le président de Chelsea, Roman Abrahamovic, devra mettre la main à la poche s'il veut voir l'attaquant brésilien sous le maillot bleu de Chelsea.Après ses déclarations, Robinho ne peut plus faire marche arrière. Lors de la victoire 4-2 du Real Madrid contre Valence, le public du stade Bernabéu a clairement montré que Robinho n'était plus le bienvenu à Madrid. Se sentant trahis par le joueur, les Madridistas auront du mal à pardonner son départ.
Le Real Madrid gagne la Supercoupe
Le Real Madrid a remporté la Supercoupe d'Espagne en s'imposant 4-2 contre Valence. Malgré un marquoir largement en leur faveur, tout ne fut pas rose pour le Real Madrid. Un premier but de Silva et les expulsions de Rafael Van der Vaart et Ruud Van Nistelooy mirent les Madrilènes au pied du mur. Arjen Robben confirma son excellent état de forme et mena son équipe à la victoire. Van Nistelrooy avait égalisé sur pénalty après la reprise. En fin de rencontre, Sergio Ramos, Ruben De la Red et Gonzalo Higuaín fixèrent le score à 4-1. Le Real Madrid était revenu de nulle part et ce n'est pas le dernier but de Morientes qui gâcha la fête des Madrilènes.
Pour remporter son premier titre de la saison, le Real Madrid devait impérativement s'imposer contre Valence. Tout commenca au plus mal pour les Madrilènes: Silva ouvrit la marque pour les visiteurs alors que Rafael Van der Vaart fut expulsé par l'arbitre. Ruud Van Nistelooy sortit la tête de l'eau et égalisa sur penalty avant de définitivement sombrer lorsqu'il reçut un deuxième carton jaune synonyme d'expulsion. A 9 contre 11, le Real Madrid devait trouver les ressources pour renverser le marquoir alors qu'il ne restait plus qu'un quart d'heure de jeu. Arjen Robben prit alors les commandes du jeu madrilène et joua pour 3. Quelques minutes plus tard, Sergio Ramos inscrivit le 2-1 pour les Champions d'Espagne. Ruben De la Red, d'un tir sublime, et Gonzalo Higuaín, opportuniste, scellèrent défintivement la victoire madrilène malgré un dernier but de l'ex-Madridista Morientes. Dos au mur, le Real Madrid remporte la Supercoupe d'Espagne!
Fiche technique:
mardi 19 août 2008
Fiche technique:
3 - Valence CF: Hildebrand; Miguel, Albiol, Alexis, Moretti; Albelda, Baraja (Fernandes, min.74), Joaquín (Pablo Hernández, min.64), Mata (Vicente, min.70); Silva et Villa.
2 - Real Madrid: Casillas; Salgado (Ramos, min.63), Javi García, Heinze, Torres; Diarra, De la Red, Van der Vaart, Robinho (Robben, min.63); Raúl (Guti, min.73) et Van Nistelrooy.
Buts:
Cartons jaunes: aucun.
dimanche 17 août 2008
Baptista est transféré du Real Madrid à l'AS Roma
Julio Baptista quitte le Real Madrid
Peu utilisé par Bernd Schuster, Julio Baptista a décidé de tenter sa chance sous d'autres cieux. Le puissant joueur brésilien rejoint l'AS Roma pour les quatre prochaines saisons. Le Real Madrid percevra une somme oscillant entre 9 et 12 millions d'euros en fonction des résultats du club italien. Malheureusement, Baptista a rarement pu compter sur la confiance des entraîneurs madrilènes mais a cependant marqué de son empreinte l'histoire du Club. Il est inutile de rappeler que c'est lui qui avait inscrit le but victorieux au Camp Nou offrant la victoire aux Madrilènes contre l'éternel ennemi de Barcelone. Comme le souligne le communiqué officiel du Real Madrid, Julio Baptista a été un exemple de professionnalisme durant les 3 années passées dans la capitale espagnole. Il y aura remporté deux titres de champion d'Espagne.
mercredi 13 août 2008
Madrid concède le nul contre Frankfort
Madrid concède le nul contre Frankfort
Le Real Madrid a clôturé sa préparation pour la saison 2008-2009 par un match nul contre l'Eintracht Frankfort. Les joueurs madrilènes se sont créé de nombreuses occasions mais seul Robinho a su tromper Nikolov, le gardien de Frankfort, très inspiré ce soir. Les choses sérieuses débuteront ce dimanche contre Valence lors du match aller de la Supercoupe d'Espagne et, malgré le manque de réalisme devant le but, les hommes de Bernd Schuster ont développé un jeu fluide et de qualité en seconde mi-temps. Nul doute que les montées au jeu de Robinho et du champion d'Europe Ruben De la Red n'y sont pas étrangères.
Fiche technique:
1 - Eintracht Frankfort: Nikolov; Ochis, Russ, Bellaid, Spycher; Steinhöfer (Galindo, min.61), Chris (Fink, min.45), Inamoto (Mahdavikia, min.61), Toski (Heller, min.79); Liberopoulos (Fenin, min45) et Amanatidis (Meier, min.61).
1 - Real Madrid: Casillas; Ramos (Salgado, min.65), Heinze (Metzelder, min.45), Pepe (Javi García, min.79), Torres; Diarra (De la Red, min.45), Guti (Baptista, min.45), Van der Vaart (Higuaín, min.65), Robben; Raúl (Saviola, min.65) et Van Nistelrooy (Robinho, min.45).
Buts:
1-0, min 6: Bellaid.
1-1, min 70: Robinho.
Stade: Commerzbank Arena, Frankfort, Allemagne.
vendredi 8 août 2008
Rafael Van der Vaart est déjà décisif
Rafael Van der Vaart est déjà décisif
Rafael Van der Vaart fut officiellement présenté ce mardi comme nouveau joueur du Real Madrid et à peine trois jours plus tard, il brille déjà sous le maillot blanc. Pour continuer sa préparation, les Madrilènes se sont rendus à Bogotá pour affronter Independiente. Et ce sont les Colombiens qui ont ouvert la marque en première mi-temps après une erreur d'inattention de la défense madrilène. Rafael Van der Vaart remit les pendules à l'heure en égalisant d'un superbe coup franc. Quatre minutes plus tard, c'est à nouveau l'international néerlandais qui se mit en évidence: il servit parfaitement Pepe qui inscrivit le but de la victoire pour les champions d'Espagne.
Fiche technique:
1 - Independiente: Agustín Julio; Alejandro Bernal, Andrés F. González, Francisco Májera, Francisco Delgado; Yulian Anchico, Hernando Patiño (Hernán Céspedes, min.84), Maximilliano Flotta, Luis M. Seijas; César Valoyes (Luis F. Mosquera, min.61) et Daniel Nécuiman (Edison Toloza, min.61).
2 - Real Madrid: Dudek (Codina, min.45); Salgado, Javi García, Heinze (Chema Antón, min.71), Torres; Diarra, Guti (Van der Vaart, min.45), Baptista (Pepe, min.31), Robinho (Robben, min.45); Raúl (Saviola, min.71) et Van Nistelrooy (Juanmi Callejón, min.71).
Buts:
0-1, min 41: Seijas.
1-1, min 73: Van der Vaart.
1-2, min 77: Pepe.
Cartons jaunes: Alejandro Bernal (min.30), Van der Vaart (min.54) et Heinze (min.60).
Cartons rouges: Míchel Salgado (min.21).
la source par: realmadrid-fr.com
Ronaldo a choisi MU
Fin du suspense pour Cristiano Ronaldo. L'esthète portugais, dragué depuis juin par le Real Madrid, évoluera encore à Manchester United cette saison.
Il aura alimenté les gazettes tout l’été, nourrissant les rumeurs de départ vers l’Espagne à un rythme boulimique. L’overdose médiatique a finalement pris fin ce jeudi, dans une interview donnée au quotidien portugais Publico : Cristiano Ronaldo restera au moins une année supplémentaire à Manchester United. «Ferguson a entendu mes arguments, j'ai entendu les siens et, de fait, nous avons convenu entre nous que le mieux pour les deux parties est que je continue. Et donc, je peux confirmer que la saison prochaine, je jouerai pour Manchester», assure l’attaquant portugais de 23 ans, sous contrat avec les Red Devils jusqu’en 2012. Un épilogue qui fait le bonheur du club anglais, sans pour autant noyer sous les larmes le Real Madrid, lassé de cette telenovela empiétant sur la préparation de son avant-saison.
Une issue prévisible
Au Real, la cour assidue de l’entraîneur Bernd Schuster et du président Ramon Calderon s’était émoussée à mesure que le dossier traînait en longueur. Les chiffres évoqués par les médias espagnols (un transfert de 85 millions, pour un salaire annuel de 9 millions d’euros) avaient perdu de l’épaisseur depuis la signature du milieu de terrain Rafael van der Vaart. Mardi, Calderon avait considéré la venue du Néerlandais comme «probablement la dernière.» Pour Bernd Schuster, le recrutement avorté de Ronaldo «n’est pas non plus la fin du monde.» L’Allemand, qui prépare le match amical contre l'Independiente Santa Fe, jeudi soir à Bogota, dispose il est vrai d’un effectif déjà riche en vedettes. Les joueurs madrilènes, irrités par un feuilleton qui les reléguait au second-plan, peuvent désormais respirer. Dans le quotidien espagnol As, Pepe, partenaire de Ronaldo en sélection, avait rappelé qu’«une équipe ne se fait pas avec un seul joueur, aussi bon soit-il», considérant la situation comme un «manque de respect.» Une exaspération reprise par l’attaquant Ruud van Nistelrooy, début août, dans le quotidien sportif El Mundo Deportivo : «C’est allé trop loin et ça nous fatigue. Les joueurs ont l’impression qu’on parle plus de Ronaldo que de l’équipe elle-même, on en a marre.» La décision du champion d’Angleterre 2007 sonne donc comme un happy end pour le vestiaire du Real, presque aussi soulagé de l’issue des débats qu’Alex Ferguson.
Nouvelle victoire pour Ferguson
A la mi-juillet, l’entraîneur mancunien s’était entretenu avec son joueur, à Lisbonne, pour le dissuader de quitter le club. Il affirmait alors avec certitude que le Portugais ne serait pas vendu. Il avait adopté la même tactique à l’été 2006, juste après le mondial, quand Ronaldo manifestait – déjà – des envies de fugue. «Ce dossier est clos, terminé, terminé, terminé. Il jouera ici la saison prochaine, vous pouvez me croire», avait-il répété encore mardi, lors d’une conférence de presse. Le statu quo dans la carrière du numéro 7 est une victoire personnelle pour l’Ecossais, qui fait de l’attaquant l’une des pierres angulaires de sa formation. Cristiano Ronaldo, qui s’estime «le grand responsable de toute cette polémique», a déjà fixé le prix de son pardon : «Je vais jouer avec Manchester de tout mon coeur et toute mon âme. Je vais me battre et honorer ce maillot avec l'engagement et le dévouement que j'ai toujours manifestés». Le retour du prodige, actuellement en convalescence après l’intervention chirurgicale qu’il a subi à la cheville droite, devra néanmoins attendre début octobre.
la source par: par Maxime Mianat, le 07-08-2008 : sport24.com
Sites Olympiques
Ce bâtiment de 18 000 places recevra les rencontres de basketball durant les Jeux Olympiques 2008
Les matches de tennis se dérouleront dans ce stade construit exclusivement pour l'occasion.
Voici le vélodrôme où se dérouleront les compétitions de cyclisme.
L'éclairage du nid d'oiseaux illumine le village olympique, une fois la nuit tombée.
Cet édifice a été soigneusement peaufiné par les ouvriers chinois.
Voici l'un des stades dans lequel se joueront les matches de football des Jeux Olympiques.
Une fois les JO terminés, le gymnase accueillera des événements aussi bien sportifs que culturels et artistiques.
Le nouveau gymnase de l'université de Pékin accueillera les matches de tennis de table.
Le Stade Olympique est également appelé nid d'oiseaux. Il porte très bien son nom.
Le stade Olympique de Pékin fait la fierté du peuple chinois.
Les matches amicaux européens
Gianluca Buffon donne ses consignes à ses défenseurs
Emmanuel Adebayor réussit un magnifique contrôle
Dernière entrée en jeu d'Ole Gunnar Solskjear, lors de son jubilé face à l'Espanyol Barcelone.
Superbe geste défensif de Giorgio Chellini (Juventus de Turin) face à Théo Walcott.
Dernières préparations pour Victor Valdes avant un coup franc de l'équipe de la Fiorentina.
Mark Van Bommel donne ses consignes à ses partenaires.
Mauro Camoranesi joue des épaule avec Mancini, sous les yeux de Sissoko.
Alessendro Del Piero dans un duel avec Javier Zanetti.
Le Gunner Van Persie et le Madrilène Guti à la lutte pour le ballon.